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Around the NBA

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Moi

(Mythe)
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Anonyme a dit :
Brian Scalabrine va affronter des habitants de Boston en un-contre-un
Le Scallenge a eu lieu !! Au final, comme prévu, branlée, quatre 1vs1, et score cumulé de 44x6 Fallait pas énervé White Mamba Source Ed


Je me suis fait EDwaner sur ce coup là
Auteur anonymeRépondre – Auteur Anonyme
Brian Scalabrine va affronter des habitants de Boston en un-contre-un


Le Scallenge a eu lieu !!
Au final, comme prévu, branlée, quatre 1vs1, et score cumulé de 44x6
Fallait pas énervé White Mamba

Source

Ed
Mon2mer2
x
(Mythe)
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Beaman
Houston fait peur !!
(Dieu vivant du forum)
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Floliver Miller

(Historique)
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Le mec fait la remise en jeu qu'il est encore en l'air.
Mais bien sur
Beaman
Houston fait peur !!
(Dieu vivant du forum)
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Ah ouais

Beaman
Houston fait peur !!
(Dieu vivant du forum)
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Les all-nba teams de Basketusa pour le début de saison :

All-NBA First Team

Chris Paul
Carmelo Anthony
Kevin Durant
LeBron James
Tim Duncan

All-NBA Second Team

Tony Parker
Russell Westbrook
Kobe Bryant
Zach Randolph
Dwight Howard

All-NBA Third Team

Rajon Rondo
James Harden
David Lee
Blake Griffin
Joakim Noah
Beaman
Houston fait peur !!
(Dieu vivant du forum)
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rantanplan
M'Benga DPY 2012
(Mythe)
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Garcy22 a dit : Article intéressant (mais long et en anglais, je préviens) sur le manque de passion dans les travées des stades NBA comparé à ceux de NCAA Basketball. http://hoopshype.com/columns/tolnick/a-deficit-of-passion Je suis complètement d'accord avec le point du vu du journaliste: il faut créer des "kops" dans les stades NBA pour que l'ambiance remonte car c'est souvent très planplan...


Je vois pas trop ce que creer des kops (totalement a l'encontre de la culture US d'ailleurs) changerait . Les facteurs pour avoir un stade chaud, on les connait :
-La qualite du jeu propose et du niveau de l'équipe. On louait beaucoup le public de Sacramento au debut des annees 2000 par exemple, comme par hasard depuis que l'equipe est a la ramasse c'est plus du tout la meme histoire. Meme topo pour Detroit ou Indiana.
-La concurence avec les equipes membre du big 4 dans la ville.
-La periode de la saison. Forcement, en PO, l'ambiance est un poil meilleure qu'en novembre

Surtout, surtout, faut pas oublier que le basket est loin derriere les autres sports en terme de popularité. Generalement dans les sondages, les trois sports preferes des cainris sont le foot pro (NFL), le baseball et... NCA football. Voir qu'il y a quand meme 10 000/15000 pelerins pour aller voir jouer NO, ca m'impressionne
Beaman
Houston fait peur !!
(Dieu vivant du forum)
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Parce qu'en général tu aimes les défis.
Je me trompe ?
Moi

(Mythe)
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C'est gentil de penser à moi mais pourquoi?

Sinon, je suis d'accord avec lui, il a beau être un bench warmer il va calmer tous ceux qui se présentent face à lui...

L'avantage c'est que ça devrait calmer les "And1 lover" qui font les caids sur les playgrounds
Beaman
Houston fait peur !!
(Dieu vivant du forum)
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Garcy tu veux tenter le coup ?


Brian Scalabrine va affronter des habitants de Boston en un-contre-un

Son côté monsieur Tout-le-monde en a fait l’une des cibles préférées de nombreux fans, mais bien que désormais à la retraite, Brian Scalabrine n’apprécie pas pour autant que l’on doute de ses qualités de basketteur.

En août dernier, il avait déjà traité d’idiots tous ceux qui estimaient qu’il n’avait rien à faire sur un terrain NBA. Encore raillé aujourd’hui par certains, le « White Mamba » a décidé de leur répondre de la meilleure des façons : sur un terrain.

« A Boston, on est en train de mettre en place ce challenge. J’ai une émission radio là-bas et il y a des gens qui pensent vraiment qu’ils peuvent me battre. On organise donc des sélections et les 10 meilleurs m’affronteront en un-contre-un. »

Pour le coup, l’idée et plutôt amusante et originale. Et la bonne nouvelle, c’est qu’on pourra certainement voir le résultat final.

« On joue en 11 points et nous allons filmer ça. La réalité des gens qui pensent savoir ce qu’est un joueur NBA. Je suis le dernier gars du banc et je vais vous botter les fesses si vous êtes sur mon chemin. C’est comme ça. »

Si nous sommes persuadés que Brian Scalabrine devrait effectivement mettre à mal les égos de quelques présomptueux, l’idée reste très bonne et on a hâte de voir ce que ça va donner.
Moi

(Mythe)
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Article intéressant (mais long et en anglais, je préviens) sur le manque de passion dans les travées des stades NBA comparé à ceux de NCAA Basketball.

http://hoopshype.com/columns/tolnick/a-deficit-of-passion

Je suis complètement d'accord avec le point du vu du journaliste: il faut créer des "kops" dans les stades NBA pour que l'ambiance remonte car c'est souvent très planplan...
Mon2mer2
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(Mythe)
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Evan Turner, on va voir ce qu'il donne sans AI2. Progression lente pour le moment. Mais ça reste quand même décevant.
rantanplan
M'Benga DPY 2012
(Mythe)
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J'avais completement zappe que Turner et Williams étaient des deuxièmes choix de draft!
Auteur anonymeRépondre – Auteur Anonyme
Le Blues des Number Two (Basket infos)

Pour beaucoup d’amateurs de balle orange, la cérémonie de la draft représente un des grands moments de la saison. Entre nouveaux espoirs et excitation de voir tant de nouveaux talents, le suspense tient également une place de choix dans la réussite de la soirée, et ce dès le début de la cérémonie. En effet, il sont souvent deux, voir trois, très bon prospects à postuler pour le titre de top pick, et même si l’un des deux semble se détacher un peu plus, on n’en est certain que lorsque David Stern les invite à le rejoindre sur l’estrade. Et ces dernières années, on constate un phénomène récurrent : alors que les top pick brillent, leurs doublures piétinent. Analyse.

Derrick Rose est blessé, mais est sans conteste un des meilleurs meneur de la ligue, et un des joueurs les plus explosifs et plaisant à voir jouer lorsqu’il est en forme. Même chose pour Blake Griffin, qui a pris le pouvoir et fait des Clippers une équipe enfin médiatisée et intéressante à suivre, à coup de alley oops et dunks de folie toujours plus spectaculaires les uns que les autres. John Wall n’est pas en reste non plus, et même si il doit encore franchir un palier collectivement pour faire enfin décoller Washington, nul doute que c’est un excellent joueur, au potentiel énorme. Tout comme Kyrie Irving, le tout jeune meneur de Cleveland qui s’est déjà installé en patron dans l’Ohio, clutch, un des meilleurs dribbleurs de NBA, et incarne la nouvelle génération de meneur appelée à prendre le contrôle de la grande ligue.

Voici donc les quatre derniers first pick de draft, de 2008 à 2011, sans conteste des fantastiques joueurs en devenir ou qui le sont déjà même. Mais qu’en est il des seconds picks de ces même années ? C’est déjà bien moins glorieux. De Michael Beasley à Derrick Williams, en passant par Hasheem Thabeet ou Evan Turner, la comparaison avec leur paires sélectionnés seulement un tour avant eux fait pourtant tâche. Sans même remonter à Darko Milicic, drafté 2e par Detroit juste après Lebron James mais avant des Carmelo Anthony, Chris Bosh ou Dwayne Wade, ou encore au maître originel en la matière, le tristement célèbre Sam Bowie connu pour avoir été drafté en deuxième position juste avant un certain Michael Jordan, on remarque en tout cas que le phénomène est récurrent. Alors, simple coïncidence ou mal profond ? Il est en tout cas légitime de se poser la question.

Lorsque Chicago décroche le premier choix à la draft lottery de 2008, et Miami le second, les choses sont claires : sauf cataclysme ce seront Miachael Beasley et Derrick Rose les deux premiers choix de la draft, à Chicago de décider dans quel ordre. Beasley est un ailier versatile à sa sortie de Kansas State, un scoreur né qui rapporte pas moins de 26.2 points et 12.4 rebonds dans sa première et seule année en fac ! Des stats impressionnantes qui font de lui le favori pour être le top pick dans un premier temps. Derrick Rose lui, vient tout juste de perdre le championnat NCAA avec l’Université de Memphis, face au Kansas (différente du Kansas State de Beasley) de Mario Chalmers et Darrell Arthur notamment. Meneur athlétique et altruiste, il n’est pas non plus un magnifique playmaker mais on le dit NBA ready après seulement un an à la fac de Memphis. Chicago préférera Rose, pour sa mentalité autant que ses capacités sur le terrain. Miami prend donc Beasley, et entend bien en faire un parfait lieutenant à Wade pou retrouver le succès. Une première saison prometteuse en sortie de banc, où il compile presque 14 points et 5.5 rebonds de moyenne. Puis carrément un poste de titulaire comme ailier fort. Un peu léger pour ce poste, il a pour lui d’être plus agile et rapide que les autres ailiers forts, en plus de sa capacité à évoluer loin du cercle. Malheureusement, il se fera manger tout cru par Kevin Garnett au premier tour des playoffs 2010, mais sa saison fut intéressante, compilant 15 points et plus de 6 rebonds de moyenne.

Mais à l’été 2010, le Heat fait le ménage et Michael Beasley est bradé à Minnesota pour avoir la place d’accueillir les Three Amigos. Chez les Wolves, ont attend de B-Easy a ce qu’il prennent rapidement les rennes et le leadership d’une équipe bien moribonde depuis le départ de KG. Et ce sera chose faite, puisqu’il semble en forme en début de saison, gratifiant même Minnesota d’un game winner contre les Clippers. Repositionné sur le poste 3, il paraît plus à l’aise qu’en 4. Oui mais voilà, cette saison sera celle de l’explosion de Kevin Love, qui va lui voler la vedette et produire toujours plus de stats pour devenir le véritable leader de cette équipe. Dans sa quatrième année dans la ligue, il est encore plus concurrencé par un Love qui a passé un palier, mais aussi Derrick Williams, Wes Johnson, Wayne Ellington ou Martel Webster. Ses minutes chutent, tout comme sa production qui passe de 19 et quelques à 11 points par rencontre … Aujourd’hui à Phoenix, il a la place de devenir le leader de cette équipe, au scoring au moins, et c’est sans doute sa dernière chance de montrer qu’il peut réellement devenir quelqu’un dans cette ligue.

Au final, si Michael Beasley n’a pas eu le début de carrière que l’on attendait, ce n’est pas forcément de sa faute, et ce fut d’ailleurs peu souvent de son ressort. Positionné ailier fort à Miami, Spoelstra aurait été plus inspiré de le placer en 3, étant donné que le garçon est plus un grand small forward plutôt qu’un petit et versatile power forward. Avec le temps, sans doute serait-il devenu un lieutenant tout ce qu’il y a de plus correct à Dwayne Wade. Bon shooteur extérieur et à mi distance, et plutôt athlétique pour un poste 3, il aurait pu à terme engranger peut être 20 points et 8 rebonds et faire aller le Heat en playoffs, mais Lebron James en avait décidé autrement. Chez les Wolves, il semblait avoir le leadership mais on le sait, et ça s’est confirmé sur les récentes saisons, c’est bien difficile de cohabiter à la machine à stats qu’est devenue Kevin Love. Victime de son image, il est aujourd’hui vu d’un mauvais oeil mais on espère qu’il arrivera a enfin exprimer tout son talent pour refaire des Suns un prétendant au playoffs.

Le cas Hasheem Thabeet est lui un cas à part, dans toute l’histoire de la NBA. Sans doute le plus gros bide de l’histoire de la draft NBA, et peut être même de tous les sports américains confondus. Le Tanzanien tournait dans sa dernière année à UCONN autour de quelques 13 points et 10 rebonds, pas mauvais en somme. C’est un bon pivot défensif, mais de là à voir autant la côte pour la draft … Memphis hérite du deuxième choix, mais Thabeet ne veut pas y aller et annule le workout. Les Grizzlies eux avaient en plus une belle ossature : Mike Conley, OJ Mayo, Rudy Gay, et Marc Gasol, et veulent un intérieur, mais pas d’espérer récupérer Griffin en deuxième choix. C’est donc Thabeet qui atterrit à Memphis, dans une situation déjà compliquée donc. Pour le reste, les chiffres parlent d’eux même, et pour ceux qui pensaient que ça sentait le très mauvais coup, ils peuvent se réjouir d’avoir eu raison : 3.1 points et 3.6 rebonds de moyenne en tant que rookie, des records en carrière, et de loin. Il réussit à réaliser l’exploit d’être le pick le plus haut d’une draft NBA a être envoyé en DLeague. Après avoir « joué » (en tout cas présent dans l’effectif) à Houston et Portland, c’est OKC, les maîtres en matière de développement des jeunes joueurs qui ont récupéré le dossier. Mais on ne serait pas surpris de les voir échouer, même eux.

Un niveau médiocre, mais l’anomalie réside dans le fait que Memphis en ait fait un second choix de draft, plus que dans l’absence de talent du garçon. Surtout quand on sait que cette draft 2009 comportait de beau phénomènes. Les Grizzlies avaient parié sur Mayo l’année d’avant sur le poste 2, mais cela les empêchait il de sélectionner un James Harden, ou un Tyreke Evans, qui venait d’ailleurs de la fac de Memphis ? Sans doute que non. De même, quand on sait le nombre de meneur de grand talent qu’à produit cette cuvée (Curry, Jennings, mais aussi Holiday, Collison, voir Maynor et Teague), il y avait moyen de faire mieux, surtout que Mike Conley n’était pas encore le joueur confirmé et quasi indispensable qu’il est aujourd’hui.

Pour Evan Turner, choisi deuxième en 2010, l’histoire est encore différente, et cette fois ci c’est à propos de confiance. Le phénomène en 2010 se nomme John Wall, et Washington le veut, mais jusqu’au bout il a persisté un petit doute sur le fait que les Wizards pourraient se tourner vers Turner. Ce ne fut pas le cas, et le voilà qui débarque à Philadelphie. A Ohio State, Turner était une star, un fantastique scoreur, capable d’attaquer le panier très bien et de se créer son shoot, sans parler de son excellent capacité au rebond pour un arrière. Oui mais voilà, il arrive dans une équipe coaché par Doug Collins, et cela va s’avérer plus dur que prévu. Dans une équipe où c’est le collectif qui prime, à l’image de son franchise player Andre Iguodala très altruiste, Evan Turner va souffrir d’un clair manque de confiance de la part de son coach, qui lui préfère même le sophomore Jodie Meeks, un pur shooteur, pour être titulaire à l’arrière.

L’an passé, Turner renverse la vapeur et s’impose comme le titulaire indiscutable à l’arrière pendant la campagne de playoffs 2012. On le retrouve beaucoup plus agressif, entreprenant, et avec beaucoup plus de réussite (11pts, 7.5rbs). Aujourd’hui qu’Andre Igodala est parti à Denver, Collins compte sur Turner pour être, avec Jrue Holiday et Andrew Bynum, le leader de la franchise. Et si il ne tourne qu’à 8.2 points par match en deux ans de carrière, total faible par rapport à ce qu’on attend d’un second choix de draft, son histoire est beaucoup moins crève coeur ou décevante qu’un Beasley par exemple. Il faut reconnaître tout le talent de Doug Collins qui en deux ans a réussi a le métamorphoser de star universitaire, go to guy, et gros scoreur, à un joueur qui bosse en équipe, qui est devenu un bon défenseur, et se fond dans le collectif. Sa mécanique de shoot lui fait défaut, et il devra travailler là dessus, mais il est aujourd’hui un arrière confirmé dans cette ligue, qui saura élever son niveau de jeu par rapport aux autres joueurs du collectif lorsque ce sera nécessaire. Si il améliore son rendement au scoring, nul doute qu’il pourra prétendre au MIP. Mais si ce n’est pas le cas, il n’y aura rien d’affolant, et à leur façon, les Sixers ont plutôt réussi à bien convertir leur second choix de draft. Même si c’est vrai qu’on était en droit d’attendre plus lors de ses deux premières années.

Derrick Williams n’est pas l’incarnation de la réussite non plus. Le jeune Forward claque une saison à 19.5 points et 8.3 rebonds par match à Arizona State, qui lui vaut d’être en course avec Kyrie Irving pour être le top pick que Cleveland choisirait en 2011. Mais c’est Irving qui semble tenir la corde, et pendant les jours qui ont précédé la draft, Minnesota n’a cessé de chercher à refourguer ce second pick à une autre équipe qui elle se ferait un plaisir de sélectionner Williams. Ils n’y arriveront pas, et Williams rejoint les Wolves qui l’ont pris non pas parce qu’ils en avaient besoin, mais parce que c’était le deuxième meilleur joueur de cette draft en valeur absolue … Des débuts difficiles donc, la saison rookie de l’ancien d’Arizona n’a rien d’extraordinaire, et pour cause : lui qui évolue sur les poste 3 et 4 se voit en concurrence avec Kevin Love, Michael Beasley, Wes Johnson, Martel Webster, et Anthony Tolliver. Il réussira bien quelques coups d’éclats par ci par là, quand il en eut le temps de jeu nécessaire pour le faire, mais cela paraît impossible de le voir exploser dans un tel effectif, qui vient en plus d’accueillir Andreï Kirilenko, Chase Budinger ou Dante Cunnigham. Un départ serait la meilleure des solution pour DWill, sous peine de voir un nouveau talent se gâcher dès ses premières années en NBA.

Enfin, que penser de Michael Kidd Gilchrist, le second choix de draft de cette année ? Il arrive chez les Bobcats, une équipe en totale reconstruction, avec un plein de confiance de la part des dirigeants, qui placent beaucoup d’espoirs en lui. Il n’est pas un fantastique attaquant, sa mécanique de shoot est encore très perfectible, mais il peut néanmoins attaquer le panier grâce à ses excellentes qualités physiques. Contrairement à ces prédécesseurs, MKG apporte quelque chose qui l’empêche presque de devenir un bide : la défense. Contrairement à un attaquant qui ne trouve pas ses marques, n’arrive pas à développer son jeu d’attaque ou a rentrer des shoots, la défense est un gage de succès en NBA, bien plus qu’ailleurs. Un Tony Allen, dont la mécanique de shoot ferait se retourner dans sa tombe James Naismith en personne, s’est fait pourtant un nom dans la ligue. De même pour un Sefolosha par exemple. MKG est de cette trempe, un véritable energizer qui apporte de l’intensité, polyvalent défensivement. Autant dire que même si il tourne à seulement 6 points de moyenne, ce ne sera pas dramatique pour les Bobcats qui attendent avant tout de le voir insuffler un esprit de défense dans l’équipe.

Ainsi, depuis Kevin Durant en 2007, les seconds choix de draft semblent tout de même galérer pour se faire un nom. Mais au final, le phénomène n’est pas uniquement liée à ces choix en particulier, et s’applique à n’importe quel rookie, qu’importe sa position dans la draft. Même si la NBA est un monde au dessus de la NCAA, priver un jeune de confiance et de temps de jeu est le meilleur moyen pour le voir perdre son basket et sa propre confiance en ses qualités, et le constat est d’autant plus décevant lorsqu’il touche un très haut choix de draft, dont les attentes sont bien plus élevées. Néanmoins, il n’y a pas autant de nouvelles places en NBA que de joueurs draftés chaque année, et les erreurs de casting ou mauvais choix permettent aussi d’apprécier à leur juste valeur un vrai bon talent.

Telle est la dure loi du sport US.
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Le boss de NBA Photos (I love Basket)

Andrew Bernstein est le photographe officiel des Lakers et des Clippers et aussi le directeur de NBA Photos. C’est un symbole de l’extraordinaire boom de la NBA à travers le Monde.

Comment se procurer des photos de matches NBA au début des années 80 ? Passer par une agence française qui avait des contacts avec une consœur américaine et qui vous en mettez quelques unes à disposition ; ce n’était pas donné. Maxi-Basket avait aussi obtenu des clichés tout à fait originaux par l’entremise de deux photographes européens, le Suisse Allan Cosandier –il a « shooté » le dunk de Julius Erving au All-Star Game de 1984 quand il prend appel de la ligne des lancers... Bon en mordant un peu - et l’Italien Georgio Gandolfi, qui avait aussi rencontré et interviewé John Wooden le coach mythique de UCLA, chez lui à Los Angeles.

Puis nous sommes entrés en contact direct avec des photographes américains. Maxi a ainsi travaillé, en premier et de façon privilégié, avec Noren Trotman des New Jersey Nets (il a notamment couvert pour nous l’Open McDonald’s de Milwaukee en 87 et le All-Star Game de Houston en 89) puis ses confrères de Los Angeles, Portland et Atlanta. Comme ça on quadrillait le pays. Les photographes nous envoyaient en fait des duplicatas de leur production par Federal Express. Une fois le précieux paquet s’est égaré en route ; je ne vous parle pas du drame !

Ne croyez pas que seuls les magazines européens travaillaient de façon artisanale. Andrew Bernstein raconte qu’il a couvert pour la première fois le NBA All-Star Game en 1983, dans sa bonne ville de Los Angeles. C’est le Public Relation des Lakers qui lui avait donné le tuyau. « J’ai rencontré une personne du nom de Porter McKinnon dans les bureaux de la ligue, laquelle à cette époque était constituée de seulement quatre employés pour leur service NBA Properties. Il bossait sur une publication appelée NBA Today et il m’a dit : « yeah ! OK. Vous pouvez travailler avec nous. Pourquoi pas ? » Un destin ça tient à rien.

Prenons le All-Star Game. C’est devenu au fil du temps une super production hollywoodienne d’une semaine avec les différents concours et la Jam Session. « J’ai couvert les cinq ou six premiers All-Star Game par moi-même, y compris les événements du week-end. Je faisais les portraits, les matches, tout. Maintenant nous sommes environ 14 photographes et notre communauté est d’environ 35 ou 40 personnes… » explique Bernstein.

Car la NBA a créé son propre service, NBA Photos, qui dans un premier temps expédiait lui aussi les clichés par Federal Express avant qu’Internet révolutionne complètement la distribution. NBA Photos a d’abord mis en place son site accessible à ses clients avant de conclure un partenariat avec Getty, une agence d’envergure mondiale.

Aujourd’hui les photos de la NBA sont visibles absolument partout, sur papier et surtout sur le web. C’est une incroyable… industrie. C’est même trop parfait. Toutes les salles, tous les studios sont « très professionnels », tous les angles, toutes les situations ont été imaginés et… toutes les photos sont standardisées, se ressemblent étrangement. Il n’y a plus de photos pittoresques et la créativité des photographes est mise à mal. Outre le fait que NBA Photos ne propose pas de photos de LeBron James devant sa piscine et de Kobe Bryant dans son hélicoptère. Là ce sont des commandes spéciales à faire à d’autres agences spécialisées et ça vaut, je suppose, une fortune.

Evidemment, en bout de chaine, avec le numérique et un matos TRES impressionnant, le job des photographes n’est plus le même. Andrew Bernstein réalise environ un millier de photos pour un match basique des Lakers ou des Clippers. Il passe à 2,500 pour le All-Star Game avec des boîtiers dans tous les recoins du plafond. Il atteint les 3,500 pour les NBA Finals !

La photo en ouverture de ce post est la préférée de Andrew D. Bernstein. On comprend pourquoi. C'est le même dunk que Doctor J mais en mieux (voir ici)

Evidemment aujourd’hui, plus besoin réellement d’intermédiaires, tout est directement disponible pour les fans (Sur le Photo Store de NBA.com).
AiR1
Golden State of Mind
(Dieu vivant du forum)
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Près de 20 ans après la compilation B-Ball’s Best Kept Secret, on apprend qu’un album est en préparation avec une quinzaine de joueurs NBA entourés de quelques unes des plus grandes stars du hip-hop actuel.

Ça s’appellera »Full Court Press Vol. 1. » et côté joueurs, il y aura Stephen Jackson, Juwan Howard, Baron Davis, Trevor Ariza, Lamar Odom, Carlos Boozer, Glen Davis, Shawn Marion et Josh Smith. D’autres joueurs sont attendus.

Côté stars, du beau monde avec Rick Ross, Trina, Snoop Dogg (ou plutôt Snoop Lion), Birdman, The Game, T-Pain, Twista et Soulja Boy.
Mon2mer2
x
(Mythe)
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RIP
(Mythe)
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Et ça devrait encore augmenter un peu l'année prochaine pour Philly

LeBu
Because
(Historique)
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En même temps, dès qu'il est en civil, il semble invisible le Scalabrine

AiR1
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Brian Scalabrine : « il faut être idiot pour se moquer de moi »


Même dans les commentaires de Basket USA, son nom apparaît presque aussi souvent que ceux de Kobe Bryant et LeBron James. Pourtant, il tourne à 3.1 points et 2 rebonds de moyenne en onze saisons. Lui, c’est Brian Scalabrine, tête de turc préférée de nombreux fans, et pourtant ancien chouchou des publics de Boston et Chicago.

A 34 ans, « Scal » est aujourd’hui à un tournant dans sa carrière. D’un côté, quelques chaînes de télévision (notamment Celtics TV) lui auraient proposé de rejoindre leur équipe de commentateurs. De l’autre, l’ex-Bull aimerait rester encore un peu en NBA, quitte à ne pas beaucoup, voire pas du tout jouer.

Problème, aucune franchise ne s’est manifestée pour le moment mais Scalabrine refuse d’abdiquer.

« Tout le monde me dit qu’accepter l’offre de la télévision, ce n’est pas abandonner. Mais avant cela, je veux que quelqu’un me dise ‘On ne veut pas de toi’, » confie-t-il à Sam Smith de Bulls.com. « Je veux qu’on me dise que je ne suis pas assez bon. »

Qu’il n’a rien à faire en NBA, Brian Scalabrine l’a entendu toute sa vie. Mais jamais par ses pairs.

« Je l’ai entendu des tas de fois. Mais je me moque de ce que les gens disent. Je me moque de savoir que les gens ne me trouvent pas assez bon. Ca ne m’ennuie pas parce que je pense que je suis un bon joueur. »

« Je ne suis pas assez bon pour être titulaire »

Cependant, il n’y a aucune haine dans le discours de Scalabrine. Au contraire, très lucide quant à ses qualités, le « White Mamba » regrette simplement que les gens n’arrivent pas à comprendre que s’il est en NBA depuis onze ans, c’est qu’il y a sa place.

« Suis-je assez bon pour être titulaire dans cette ligue ? Probablement pas. Mais je suis un gars qui joue dur et qui sait s’adapter. »

Alors que c’est peut-être la dernière fois qu’il s’exprime en tant que joueur NBA, Scalabrine en profite également pour adresser un message à tous ceux qui l’ont allégrement chambré.

« Sans vouloir manquer de respect, je pense qu’il faut être un idiot pour se moquer de moi. Je n’ai pas gagné ma place en NBA dans un concours. Je me suis battu tous les jours. Je me suis levé à 5h30 du matin toute ma vie pour m’entraîner. Je pense qu’il faut être idiot pour croire que ma présence est une blague. Je sais pourquoi je suis là. »

Pour un joueur qui n’a démarré que 61 matches sur 520 avec un temps de jeu moyen de 13 minutes, sa réputation est déjà extraordinaire. Malheureusement, ce n’est forcément pour les raisons espérées et c’est peut-être ce qui le touche le plus.
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CP3 / Rondo
Wade / Harden
Durant / Melo
LBJ / A.Davis
D12 / Garnett
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Martin Baratino a dit : D Will / T Parker M Ellis / E Gordon T Allen / B Rush K Love / D Lee D 12 / A Bogut




t'est sûr que t'a pas oublié Klay Thompson, Harrison Barnes, Landry et Steph Curry ?


UCLA
Martin Baratino
Nice guy
(Légende)
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D Will / T Parker
M Ellis / E Gordon
T Allen / B Rush
K Love / D Lee
D 12 / A Bogut
Wormy
Team Building...
(Historique)
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PG : Rondo / CP3
SG : Rose / Wade
SF : Durant / Melo
PF : LBJ / Love
C : D12 / Bynum
Martin Baratino
Nice guy
(Légende)
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Curry n'a rien à faire là, Harden encore moins
AiR1
Golden State of Mind
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Pas faux, (même si Harden est loin d'etre manchot à 3 pts et shoote pas mal) mais KD seul bombarde tout from downtown, et comme il est instoppable, pas besoin d'avoir un autre spécialiste.

Pourquoi faire compliqué quand on peut faire simple.
rantanplan
M'Benga DPY 2012
(Mythe)
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AiR1 a dit : Pas loin du roux CP3/ Nash Rose/Harden Kade/Melo Lebron/Love D12/Jefferson


Harden je l'aurais bien mis mais j'ai pense a ce bon vieux Troy et son spacing. Le barbu est plus un shooter a mi-distance qu'un shooter a trois points, je pense qu'une telle equipe aurait besoin d'un spécialiste longue distance au poste 2
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Bynum/Love
Lebron/J.Smith
Durant/Melo
Wade/Kobe
Curry/Deron

String
AiR1
Golden State of Mind
(Dieu vivant du forum)
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Pas loin du roux

CP3/ Nash
Rose/Harden
Kade/Melo
Lebron/Love
D12/Jefferson
rantanplan
M'Benga DPY 2012
(Mythe)
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CP3/ Deron
Rose/Allen
Kade/Melo
Lebron/Love
D12/Bynum

Pourquoi faire complique quand on peut faire simple
Easy !
SuperBulls !
(Historique)
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Top team:
Howard/Bynum
J-Smith/Pau Gasol
James/Deng
Bryant/Joe Johnson
Rose/Williams
Jean-Louis

(Habitué)
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Howard / Chandler
Love / Anderson
LeBron / Ariza
Wade / Afflalo
Curry / Holiday
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Imaginez que vous pouver constituer votre roster de 10 joueurs parmis la NBA actuelle ...

my pick :

CP3 / RONDO
E.GORDON / HARDEN
DURANT / JAMES
GRIFFIN / J.SMITH
HOWARD / LOVE



UCLA
AiR1
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Beaman
Houston fait peur !!
(Dieu vivant du forum)
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Benson a dit :
Beaman a dit : Shaquille O’neal n’est pas du genre à se démonter et après le combat de catch qu’il devrait disputer le 1er avril il a accepté le challenge de Jose Canseco. Canseco, 47 ans est un ancien joueur MLB et c’est lui qui a lancé le défis au Shaq sur Twitter. Les deux devraient combattre façon MMA (Mixed Martial Arts, mélange d’art martiaux).
Qui a gagné finalement ?



j'ai pas vu le combat, je ne sais même pas s'il a eu lieu.
Jean-Louis

(Habitué)
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Beaman a dit : Shaquille O’neal n’est pas du genre à se démonter et après le combat de catch qu’il devrait disputer le 1er avril il a accepté le challenge de Jose Canseco. Canseco, 47 ans est un ancien joueur MLB et c’est lui qui a lancé le défis au Shaq sur Twitter. Les deux devraient combattre façon MMA (Mixed Martial Arts, mélange d’art martiaux).


Qui a gagné finalement ?
Auteur anonymeRépondre – Auteur Anonyme
NBA : le prochain rôle de Metta World Peace ? Un vampire obsédé sexuel


Héhé

Après avoir commencé sa carrière d’acteur en décrochant un rôle de détective, Metta World Peace n’a pas tardé à trouver un nouveau personnage beaucoup plus en accord avec l’image délirante qu’il véhicule.

En septembre, le joueur des Lakers va participer au tournage du pilote d’une série humoristique baptisée « Real Vampire Housewives. » Dans ce pilote, un couple de jeunes vampires doit demander aux anciens la permission de se marier. World Peace sera un de ces anciens. Gossamer, son personnage, est décrit comme ayant un « caractère ouvertement sexuel. »

Le réalisateur est aux anges.

« Le producteur a mentionné Metta World Peace et c’était « oui » en un instant. Metta est parfait pour un vampire, il est intimidant physiquement dans le sens mâle dominant, charmant, espiègle et il a une sexualité brute que la plupart des acteurs essayent de trouver lorsqu’ils jouent un vampire. »

Maintenant, il faut croiser les doigts très fort pour espérer qu’une chaine achète cette série et qu’on voit ce pilote un jour.
Beaman
Houston fait peur !!
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Interview George Eddy by bballchannel
AiR1
Golden State of Mind
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cute

Kevin Love – Tyson Chandler : souviens-toi l’hiver 2000 !

A la veille de la finale olympique que toute la planète basket attend depuis Pékin, l’équipe américaine aura bien besoin d’un secteur intérieur au sommet de son art pour contrer la fratrie Gasol renforcé de Serge Ibaka. Et deux de ces membres importants, Tyson Chandler et Kevin Love, partagent un lien assez incroyable. C’est ESPN qui raconte cette anecdote.
« Tu me demanderas un autographe un jour, tu verras ! »

Pour s’en rendre compte, il faut remonter à l’hiver 2000. Chandler est alors une star de son lycée californien de Compton, Dominguez, et son équipe participe au fameux tournoi Les Schwab Invitational où les meilleurs lycéens du pays s’affrontent. Melo est d’ailleurs là aussi avec sa Oak Hill Academy.

Là où le destin s’en mêle, c’est que le tournoi qui accueille 16 équipes a lieu cette année au Memorial Coliseum de Portland. Les organisateurs se tournent alors vers les gamins des collèges environnants et le jeune Kevin Love, alors âgé de 12 ans, tire du chapeau le papier sur lequel était inscrit Dominguez.

Il va ainsi passer les 5 jours que dure la compétition à ramasser les rebonds pour Chandler, essayant dès que possible de parler avec lui.

« J’ai suivi Tyson pendant toute une semaine. J’étais ce gosse de banlieue rondouillard qui pensait qu’un jour il pouvait être aussi bon que lui. »

Et avec le temps, les deux commencent à se chambrer.

« Je serai en NBA un jour. Tu me demanderas un autographe un de ces quatre, tu verras. »

Le petit Love fait bien marrer Chandler.

« Il était ce petit gamin potelé mais il était amusant. »

Janvier 2009 : Acte 2, scène 1

Après avoir raflé le titre de MVP du même tournoi trois ans plus tard – en étant le premier freshman à réussir cette performance, Love poursuit sa carrière en passant par UCLA. Et puis en 2008-09, il commence sa première campagne en NBA et lors du déplacement des Wolves à la Nouvelle Orléans en janvier, il vient à la rencontre de Chandler, en civil, blessé sur le banc.

« Tu te souviens de moi ? »

Le pivot est interloqué, littéralement, sur son séant.

« J’ai trouvé ça fou que ce même gamin était alors en face de moi, en NBA. »

Le mioche culotté d’Oregon a effectivement tenu parole. Mieux, il fait partie, comme Chandler, d’une équipe américaine olympique sur le point d’obtenir la récompense suprême. Un happy end à cette énième histoire à l’américaine ?
Beaman
Houston fait peur !!
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Shaquille O’neal n’est pas du genre à se démonter et après le combat de catch qu’il devrait disputer le 1er avril il a accepté le challenge de Jose Canseco. Canseco, 47 ans est un ancien joueur MLB et c’est lui qui a lancé le défis au Shaq sur Twitter. Les deux devraient combattre façon MMA (Mixed Martial Arts, mélange d’art martiaux).

i33

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Antoine Walker en NBDL
L'article sur Yahoo Sports d'un ancien multi-millionnaire désormais ruiné...

Larry
Expert en Pronostics
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Samefisto a dit :
Garcy22 a dit :
rantanplan a dit : C'est vrai que Garcy aussi est Suisse
A vrai dire, le seul "vrai" suisse du forum, c'est GoPacers. Larry et moi ne sommes que des parasites de frontaliers
Larry est coutumier du fait, il a déjà été parasite frontalier de Paris. Également de Picardie.


Frontalier de Picardie... Toi t'es un vrai frontalier. D'ailleurs j'espère que Schengen va être revu, ça manque de personnel à la douane Picardie-France (val d'oise)
Larry
Expert en Pronostics
(Mythe)
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rantanplan a dit : C'est vrai que Garcy aussi est Suisse Merci pour vos reponses. Vous me connaissez un peu, je trouvais ca curieux qu'on puisse refuser deux semaines de vacances en plus par an Enfin, meme avec vos explications, je trouve ca assez fou de repondre non a la question


+1!
Samefisto

(Mythe)
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Garcy22 a dit :
rantanplan a dit : C'est vrai que Garcy aussi est Suisse
A vrai dire, le seul "vrai" suisse du forum, c'est GoPacers. Larry et moi ne sommes que des parasites de frontaliers


Larry est coutumier du fait, il a déjà été parasite frontalier de Paris. Également de Picardie.
rantanplan
M'Benga DPY 2012
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C'est pareil, vous etes suisses
Moi

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rantanplan a dit : C'est vrai que Garcy aussi est Suisse


A vrai dire, le seul "vrai" suisse du forum, c'est GoPacers. Larry et moi ne sommes que des parasites de frontaliers
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