Anonyme a dit :

jbtahiti a dit :

Anonyme a dit : Haha, excellente analogie Perso, leur défense est par séquence vraiment superbe, collectivement c'est du lourd et seul le Heat me semble à même de proposer une défense plus aboutie, la différence, c'est que les Pacers, lorsque l'équipe adverse contourne leur barricade, ils pètent les plombs et commencent à enchainer les vilaines fautes par frustration et colère, je me souviens par exemple du traitement de faveur sur Rose lors des PO 2011 (j'ai un doute ? Si quelqu'un peut confirmer ?), sur la doublette Wade-Lebron l'an dernier et sur quelques matches cette saison (Curry pour prendre l'exemple le plus frais), en saison régulière ça passe, mais en PO ce sera sanction sur sanction, qui plus à l'heure actuelle les Pacers sont destinés les Celtics au premier tour des PO, et au petit jeu de la roublardise, ils se feront manger tout cru par KG and co, bref ils doivent se contrôler et se calmer, le jeu dur c'est franchement génial, mais sans mettre de contrat quoi String

Les Bad Boys, c’était une défense sauvage qui faisait avec les règles de l’époque, mais aussi et on l’oublie, une équipe qui avait un gros potentiel offensif. Thomas était le chef d’orchestre et distribuait à Dumars, Aguirre, Johnson, Laimbeer, et Edwards, qui composaient une escouade de scoreurs très composite. Les Pacers actuels possèdent un effectif qui les contraint à défendre au maximum de ce qui est autorisé aujourd’hui, mais ont une des attaques les plus calamiteuse de la ligue. Paul George est encore très irrégulier à l’instar du surcoté et convalescent Granger, et seul West me parait véritablement dangereux à l’intérieur. Avec ces trois là (ou plutôt deux et demi), on a fait le tour de leur attaque. Hibbert, Hill, Stephenson, Hansbrought, et Green ont tous en commun d’être courageux mais limités. J’espère néanmoins qu’ils vendront chèrement leur peau en playoffs.

Bof, tu peux citer Dumars et Aguirre comme menaces offensives, mais Vinnie Johnson, Laimbeer et Edwards n'étaient pas des foudres de guerre en attaque. Vinnie pouvait prendre feu en un instant, un vrai micro ondes, blablabla, mais ses perfs au scoring ne duraient justement pas beaucoup plus d'un instant, pour schématiser le truc Edwards et Laimbeer étaient des options fiables, mais pas de vraies menaces comme tu le laisses entendre. Au final, l'attaque de Detroit était une traction arrière, reposant sur le trio Thomas-Dumars-Johnson en sortie de banc. Aguirre s'est complétement effacé à son arrivée à Detroit.